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samedi 3 octobre 2015

La Villa Jovis Tiberius - Capri

Lors du voyage à Naples organisé par Luisa nous avons également visité Capri. Guylhaine Delchambre a fait un exposé sur la Villa Tiberius qu'elle partage ici avec vous. Elle a joint quelques photos de la Villa et de la Via Sopra Monte, la petite ruelle nous permettant de monter à la Villa Jovis : ce sont des entrées de maisons privées, ou de jardins ... 







La Villa Jovis Tiberius – Capri
                                                      Ricerca di Note : Internet – Guylhaine Delchambre

La Villa Jovis vue de loin

La Villa Jovis è un sito archeologico sul quale si trovano le vestigia della Villa dell’Imperatore Tiberio (42a.C – 37d.C)
E’ la prima Villa tra le dodici ville romane sull’isola, menzionate da Tacite.
Fu eretta nel primo secolo d.C. e scoperta nel 700, sotto Carlo di Borbone. Tiberio ha vissuto li’ dal 27 al 37 d.C.
E’ ubicata a 334 m sul Monte Tiberio. Di là, si puo’ visualizzare tutto un panorama che va della Baia di Napoli fino al Golfo di Salerno.
 
La Villa Jovis Tiberius
Oggi, in maggior parte distrutta, è caratterizzata da una costruzione a piano quadrato fatta di tufo dell’epoca di Augusto - (63 a.C. – 14 d.C.) – poi, di pietra calcarea a terra cotta, modificati sotto Tiberio. I pavimenti erano in mosaico di marmo, e le pareti rivestite con mosaico di vetro…

La Villa copriva parecchie terrazze di 7000 m2 (su un livello di una quarantina di metri…), con 13000 m2 di giardini e « nymphées » (erano vasche che ricevavano una sorgente osservata come sacra)…
Cisterne per la raccolta delle acque piovane

Il complesso imperiale è centralizzato intorno a un’importante «  impluvium » costruito di cisterne per la raccolta delle acque piovane usate come riserva destinata alla Villa ed alle terme (8000m3).

L'alloggio dell'Imperatore

       - Al Nord ed all’ Est, c’erano l’alloggio dell’Imperatore, collegato con rampe e gradinate al « triclinium » e alla loggia (92m di lungo)…, destinata alla passeggiata e alla contemplazione del paesaggio.
       - A Ovest, su tre livelli si trovava il quartiere dei domestici, donne di servizio, camerieri, giardinieri…
       - Al Sud, c’erano l’ « atrium » e, lo spazio delle terme, articolate negli ambienti del « frigidarium », « tepidarium », « caldarium »… ed un portico aperto… 

Esiste  anche un collegamento tra la Villa ed un faro, utilizzato forse, per comunicare con segni ottici con la flotta imperiale, basata a Capo Miseno e Punta Campanella.

Durante i secoli, la Villa è stata smembrata di tutti suoi elementi architettonici per ornare palazzi reali, ed anche stanze di Musei…
Nel 1937, Amadeo Maiuri ci effettua una campagna di scavi, e numerosi reperti sono conservati al Museo Archeologico di Napoli, nella Chiesa di San Stefano a Capri e nella Chiesa del SS Salvatore.

Vicino anche alla Villa, c’è il famoso « Salto di Tiberio ». Dell’alto di questa falesia, secondo la leggenda popolare, l’imperatore ci precipitava gli schiavi ed ospiti diventati troppo fastidiosi…

Renseignements : secretariat.dante66@hotmail.com

mercredi 30 septembre 2015

Don Pasquale de Donizetti

Notre professoressa Luisa a organisé un voyage à Naples en septembre 2015. En dehors des visites programmées avec guide elle nous avait suggéré d'aller un soir au Teatro di San Carlo pour voir l'opéra Don Pasquale de Donizetti. J'avoue que je ne suis pas très opéra, mais j'ai quand même réservé ma place et je ne l'ai pas regretté.




Premièrement il y a la beauté du théatre qui date de 1737. Dévasté par une incendie en 1816, mais reconstruit aussitôt. Nous avions des places dans les petites loges avec 6 chaises au premier étage fermées avec des rideaux. On se serait cru dans un autre siècle ! 




J'ai dit que je n'aime pas trop l'opéra, car je ne comprends pas les paroles et parfois je ne reconnais même pas en quelle langue on chante. Heureusement une de nos co-voyageuses avait fait des recherches sur cette opéra et m'avait expliqué en grandes lignes l'intrigue :

Peu tendre avec son neveu Ernesto, qu’il préfère déshériter plutôt que de le voir avec une épouse qu’il désapprouve, le vieux Don Pasquale choisit de se marier : sa fortune reviendra ainsi à sa future épouse. Le Docteur Malatesta lui propose son aide et le dirige vers sa sœur, la douce et docile « Sofronia »… qui n’est autre que Norina, la fiancée d’Ernesto. Convaincue par Malatesta que le meilleur moyen de s’unir à Ernesto est d’épouser d’abord le barbon, Norina a accepte ce marché. Mariée au barbon, elle se montre vite une épouse infernale, malmenant le géronte qui commence à regretter son choix. Persuadé que sa Sofronia le trompe et fréquente un amant, Don Pasquale tente de la piéger. Mais le guet-apens se referme sur lui : comprenant qu’il s’est fait berner, Don Pasquale reconnaît aussi que le mariage n’est pas fait pour lui… Et accepte l’union d’Ernesto et de Norina.
  

Et quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que les textes italiens s'affichaient au dessus de la scène ! Même si je ne les ai pas compris à 100%, j'ai pu suivre aisément le déroulement de l'opéra.




J'ai trouvé sur internet une vidéo de l'opéra de Zürich avec des sous titres en italien. 
Régalez-vous en regardant l'intégralité de Don Pasquale :



Contribution au blog de Dante Alighieri par Clementine Cervellon

Renseignements : secretariat.dante66@hotmail.com

lundi 28 septembre 2015

La coppola storta (Sicile)


La Coppola Storta (casquette de travers) a toute une histoire. Selon le site du fabriquant l'origine de cette casquette pourrait se trouver en Angleterre et elle serait importée en Sicile par les Anglais. J'ai lu la version italienne et la version anglaise du site qui ne sont pas identiques. Peu importe, disons qu'à un moment donné la coppola était portée en Sicile par les propriétaires des terres, des gens aisés, mais ensuite certains commençaient à la porter de travers et cela voulait dire qu'on faisait parti de la mafia et les gens biens ont abandonné cette casquette. 


Après l'assassinat par la Cosa Nostra des juges Siciliens Falcone et Borsellino engagés dans la lutte antimafia la population de Sicile s'est révoltée contre la mafia.


En 1994 Guido Agnello a voulu réhabiliter la Coppola Storta, symbole de la Sicile, et il a créé un atelier de fabrication de ces casquettes en leur donnant un nouveau look avec des tissus de tweed, des tissus à fleurs, à carreaux, à pois (plus de 300 styles différents) et a rendu la casquette trendy. Sa fille Tindara Agnello est le designer de la marque. Guido explique que la Coppola est le symbole de la libération et l'emblème d'une nouvelle Sicile qui peut être fière de sa culture et de son histoire. 

Aujourd'hui la Coppola Storta est un produit de luxe prisé par les stars du monde entier.
Il existe plusieurs boutiques Coppola Storta en Sicile, mais aussi à Rome, Vienne, Berlin et Kobe (Japon). Des projets pour ouvrir une boutique à  New York suivent leur cours.

D'autre part la marque veut sensibiliser les siciliens d'acheter dans des boutiques qui refusent de se faire raquetter par la mafia pour payer il pizzo. Guido a embauché des femmes avec des contrats de travail légaux qu'elles n'avaient jamais eues de leur vie.

Quelques stars qui portent la Coppola Storta :

Common

Rihanna, Common et Alicia Keys

Brad Pitt
george clooney
George Clooney
Léonardo di Caprio


frankgallucci coppola hat
Johnny Depp
Alors il ne me restait plus qu'à acheter une coppola storta pour mon fils lui même dans le milieu de la mode.




Ci-dessous une vidéo de la marque Coppola Storta :




Quand j'écris un article sur mon blog personnel (http://theblogdeclementine.blogspot.fr) j'en avise toujours les personnes concernées. J'ai eu une gentille réponse de Tindara Agnello, designer de la marque :

Cara Clementine,

grazie tante per il tuo articolo, è molto bello!! Seguiremo il tuo blog, lo ho
messo anche sulla nostra pagina Facebook La Coppola Storta Main Company..

un saluto,

Tindara Agnello


Une contribution au blog de Dante Alighieri par Clementine Cervellon


Renseignements : secretariat.dante66@hotmail.com

lundi 14 septembre 2015

Marche autour du Lac de Villeneuve de la Raho

Au printemps
Voilà, nous avons repris la marche autour du Lac de Villeneuve de la Raho. Sous la houlette de Jean-Yves Redon, nous avons le plaisir de nous retrouver tous les lundis matin à 9h30 au parking du lac de Villeneuve de la Raho pour faire le tour de lac à pied, chacun à sa propre allure. Nous sommes contents de retrouver Jean-Yves en pleine forme. Et nous pouvons même vous annoncer un scoop : Ce matin Jean-Yves nous a annoncé qu'il reprendra les ateliers de musique à partir du mois de janvier. Quelle bonne nouvelle pour notre association !
Alors pour vous motiver pour faire un peu de marche voici quelques photos prises à des saisons différentes. 
Vous allez vous régaler à faire un peu de marche et à découvrir la nature selon les saisons. Sachez que la marche est une des activités la plus recommandée pour  notre santé.
En Hiver


Au printemps

Nous espérons vous rencontrer lors d'une des prochaines balades. Pas besoin de s'inscrire, vous nous rejoignez à 9h30 chaque lundi au parking du Lac. 

A presto !

Renseignements : secretariat.dante66@hotmail.com

vendredi 11 septembre 2015

Voyage à Rome (2ème partie)

Lire la première partie

Ci-dessous la deuxième partie de l'article en italien sur un séjour à Rome présenté par Martine Jesus-Pret et Marie-Claire Bassou :

13 Febbraio

Appuntamento al metro Colosseo alle 9.30 : la ROMA ANTICA
Piove ! (ma per fortuna non durerà) Con Jo, prendiamo il tram fino alla piazza Venezia, davanti al monumento di Vittorio-Emmanuele II soprannominato dai Romani “la macchina da scrivere” . In lontananza, vediamo la sagona del Colosseo. Per raggiungere Luisa e la guida Sabina, camminiamo lungo via dei Fori Imperiali, a sinistra i mercati di Traiano e a destra il Foro Romano. Le statue dei imperatori ci guardano e si scorge lungo via o un tempio o un arco di trionfo, spettacolo affascinante .
                    
La visita è guidata da Sabina, una donna giovane bravissima che risponde alle nostre domande, per esempio i nomi delle sette colline di Roma perché non siamo tutti d’accordo : il Campidoglio, l’Aventino, il Palatino, il Quirinale, l’ Esquilino, il Viminale e il monte Celio . Due ore e mezzo per immaginare la magnificenza di Roma. 
L'Arc de Constantin

Cominciamo coll’Arco di Costantino, poi la collina del Palatino, lo stadio di Domiziano (era un ippodromo), il giardino d’inverno della domus Flavia con al centro la fontana ottogonale, la salla da pranzo d’inverno con i condotti di calore e i forni sotto la salla, i mosaici della casa di Nerone, conservati dalla casa di sopra. Poi, andiamo a vedere le cabane datate dell’ Ottocento a.C., testimonio di un primo villaggio : si raggiungiono storia scientifica e legenda della fondazione di Roma. Ascoltiamo la storia dei due fratelli, Romolo e Remo. Dopo, passiamo dentro lo criptoportico costruito da Nerone e arriviamo sulla Via Sacra. Ci fermiamo per ammirare l’Arco di Tito edificato da Domiziano ; su un lato si vede il trionfo di Tito vincitore dei Ebrei (si riconosce un candelabro da sette braccia). Ha distrutto anche il tempio di Gerusalemme.


Le Forum Romain

Nel foro, Sabina ci parla della basilica imponente alle tre navate, passiamo davanti il piccolo tempio di Romolo colle porte di bronzo verde d’origine, le belle colonne del tempio d’Antonino e di Faustina dove è stata costruita una chiesa (si vede la differenza di altezza colla porta della chiesa), il luogo dove fu arso il corpo di Giulio Cesare dopo il suo assassinio (Sabina ci dice che ogni quindici Marzo, la gente viene a mettere fiori sulla tomba). Vicino, il tempio di Vesta, uno dei più anziani di Roma ; di fronte a noi, il Campidoglio, il tempio di Saturne e l’Arco di Settimio Severo (Sabina ci fa vedere sul frontone che il nome di Geta è stato cancellato da suo fratello Caracalla che l’ha ucciso).             
Saliamo sulla piazza del Campidoglio dove ci apspetta Luisa vicino alla statua dell’ imperatore Marco Aurelio che non è stata distrutta dalla Chiesa perchè crederono che fosse l’imperatore Costantino . In cima ai gradini della Cordonata, si notano le statue dei Dioscuri Castor e Pollux, con i caballi ai loro fianchi . 
                                                                    
Pranzo tutti insieme nel ristorante La Terrazza del Campidoglio dalla vista bellissima. Alcuni assagiano una specialità romana, la zuppa con fagioli e lenticchie . Per me, pasta con fruta di mare .
                     
Dopo il pranzo, Luisa ci accompagna fino al teatro della Cometa per prenotare posti per la serata . Poi ci separiamo per il pomeriggio . Luisa va a ritrovare amici suoi, Martine V. e Didier vanno dal loro lato. Io, Jocelyne e Luce andiamo a visitare l’interno del Colosseo . Troppa gente, non è per niente che si dice che è un dei simboli di Roma ! Abbiamo fatto tutto il giro del monumento ma personalmente, sono stata delusa perché è molto rovinato e resta poca cosa della sua splendore passata. Bisogna avere molto imaginazione per rappresentarsi la folla romana dell’ epoca davanti i “spettacoli” di gladiatori, leoni o altri festeggiamenti .
                  
Il Colosseo, prima chiamato Anfiteatro Flavio, è il più grande mai costruito nell’ Empiro romano (da 70-72 d.C. sotto Vespasiano a 80 sotto Tito) . Poteva accogliere tra 50.000 e 75.000 spettatori e era utilizzato per i combattimenti di gladiatori, la caccia … Ai giorni nostri, ogni Venerdi Santo, il Papa conduce una processione fiaccolata (aux flambeaux) su una Via Crucis (chemin de croix) fino all’ anfiteatro . E anche rappresentato sulla moneta di cinque centesimi d’euro .
Ritorniamo verso il centro storico . Andiamo fino alla piazza di Spagna . Prima si chiamava la piazza della Trinità, dello stesso nome della chiesa . Nel XIXo secolo, era l’appuntamento degli artisti e degli scrittori . Alla fine dell’Ottocento, un obelisco, proveniendo dai giardini di Salluste, fu eretto in alto della scalinata .
Saliamo per le famose scale per ammirare la città con i suoi duomi colorati dalla terrazza dove si trovano pittori e dissegnatori, una  piazzetta carina che fa pensare un po’alla nostra « place du Tertre » a Parigi.           

Passeggiamo lungo Pincio e scendiamo fino alla piazza del Popolo dove c’ è una folla immense a causa della festa del Capodanno cinese. Guardiamo un po’ lo spettacolo e andiamo a fare le spese nelle strade del Tridente, les tre strade che partono dalla piazza : la via Babbuino, la via di Ripetta e quella del Corso .
Vitrine Via del Babbuino
                                                                              


Dopo una piccola pausa al B&B, ci ritroviamo al teatro della Cometa, vicino alla piazza Venezia, con Marie-Claire, Luce, Didier, Martine V. per vedere un’ opera di Claudio Boccaccini « La foto del Carabiniere » . Un monologo recitato dal regista teatrale in persona.                                                                           
         

L’attore aveva un modo di parlare abbastanza rapido, ma a poco a poco, mi sono abituata alla melodia della sua voce e sono riuscita più o meno a capire l’essenziale dell’opera . Alcune di noi siamo restate un po’deluse perché non abbiamo ritrovato veramente il tema fondamentale, detto nel titolo e svillupato nel programma . L’eroe dell’opera era più il padre del regista che il carabiniere .
Dopo la rappresentazione, io e Jocelyne siamo andate a cenare nel Trastevere al « Cajo&Cago », ristorante simpatico, da consigliare.
       

Abbiamo chiacchierato (in italiano) con due ragazze giovani italiane, due sorelle del Abruzzo, fino alle due della mattina ! La maggiore era assistente sociale nelle Marche e la più giovane era attrice di teatro e si era sistemata a Roma da poco. Una bellissima serata !

Sabato 14 Febbraio : Dalla piazza del Popolo (Caravaggio) alla via del Babuino. 


Piazza del Popolo


L’appuntamento è fissato alle nove e mezzo . Per andarci, io e Jocelyne prendiamo il tram ino alla piazza Venezia e di là, camminiamo lungo via del Corso fino alla piazza del Popolo. La piazza è occupata da una grande scena per la festa del Capodanno cinese, non si vedono più l’architettura ovale e l’armonia delle decorazioni . Tocca a Marie-Claire di fare la guida del gruppo per questa piazza, la porta del Popolo, l’obelisco, le due fontane e le chiese, soprattutto la chiesa Santa Maria del Popolo con due famosi dipinti di Caravaggio.   Passeggiata con Luisa nelle vie del Tridente, le tre vie che partono dalla piazza, strade molto commerciali quasi tutte con i lastrici . Luisa vuole mostrarci l’ Ara Pacis, che unisce uno splendido altare romano dentro un edificio moderno, tutto bianco, dal celebre Richard Meier . Di fronte, abandonnato, il mausoleo di Augusto, peccato per uno dei più grandi imperatori romani ! Fermata in un negozio di vestiti, poi un pranzo rapido in un ristorante di fast food all’italiana, da non memorizzare .   
Pomeriggio : visita al MAXXI per alcuni di noi. Passeggiata e spese per gli altri .




Maxxi

Andiamo al MAXXI ! Io, Jocelyne e Luce decidiamo di andare a questo Museo delle Arti del XXI secolo . Prendiamo il tram dopo la Porta del Popolo che ci conduce fino al quartiere di Flaminio . Il museo è un gran edificio “barocco-contemporaneo”.  Arrivando davanti al bastimento, la prima cosa che si nota, in alto dell’ edificio, è una sorta d’« avanzata » interamente vetrata sulla quale si riflettono le case dalle facciate arancioni che si trovano di fronte .
E un museo a vocazione nazionale, aperto nel 2010. La costruzione è l’opera di un’ architetta anglo-irachena  Zaha Hadi  che è stata ricompensata dal premio Stirling per questa realisazione . Il costo dell’opera è di 150 milioni d’euro . Sono i muri inclinati e il pavimento ondulato che fanno l’originalità di questo museo .
                                                                                                   
Abbiamo visto una mostra interessante : « L’Italia dell’Alta Moda, da 1945 a 1968 . Una collezione di abiti tutti più belli gli uni degli altri, 80 articoli d’abbigliamento come gioielli di Bulgari .  Da Valentino a Sorelle Fontana, passando da Sciaparelli, è una nuova concezione della fabbricazione dei tessuti raffinati italiani .                   


Dopo la visita, passeggiata nella città, da curiosare nelle strade commerciali, via del Babbuino, via del Corso con una pausa nella grande libreria Feltrinelli con una buona cioccolata calda ottima (allo spagnolo !) e dove abbiamo comprato cartoline e libri su Roma.      
Arriviamo alla fine della via del Corso, abbastanza stanche, dopo un’altra giornata piena ; è tempo di andare a riposarsi un po’ prima di ritrovarci tutti per una cena nel Trastevere .        

Prendiamo l’autobus piazza Venezia fino al quartiere Trastevere . Avevamo l’appuntamento alle otto al nostro « quartiere generale » come d’abitudine, davanti alla chiesa Santa Maria in Trastevere .
Qualche vista del “nostro” quartiere, il Trastevere.

L’isola Tiberina è la sola isola di Roma . E stata lontano isolata a causa delle piene violente del Tevere . Nel passato, ce si mettevano i malati in quarantena e da allora, é stato costruito il più grande ospedale della città . 
      
Trilussa, poeta, scrittore e giornalista (1879-1950), è noto soprattutto per le sue composizioni in dialetto romanesco . Accanto alla statua, c’è incisa una simpatica poesia .


Ponte Fabricio

Il ponte Fabricio, dal nome di un curatore delle strade, Lucius Fabricius . Rilega l’isola Tiberina alla riva sinistra del Tevere . Fu costruito nel 62 a.C. E il ponte più antico di Roma, ancora nel suo stato d’origine.

E ancora chiamato ponte dei quattro capi . Una legenda racconta la storia di  quattro architetti che furono incariti dal Papa Sisto V del restauro del ponte . Ma dopo una profonda discorda tra loro, Sisto V decise di farli decapitare.       


I nasoni di Roma . Sono chiamate nasoni le fontanelle pubbliche di Roma che distribuiscono acqua potabile gratuita. Questo nome viene dal tipico rubinetto ricurvo di ferro, che ha la forma di un grande naso .
La sera, decidiamo di mangiare al ristorante Ciak nel Trastevere, la cucina è buona ma abbastanza cara e l’attesa molto lunga. Piacere di ritornare all’albergo per una buona notte di sonno.

Renseignements : secretariat.dante66@hotmail.com

vendredi 4 septembre 2015

Žilda à Naples

J'ai découvert le streetart de Žilda sur la chaîne télé Arte. Ce talentueux artiste français m'intrigue. Vous pourrez découvrir son travail dans la vidéo de l'émission Metropolis ci-dessous.


                  

En septembre dernier je n'ai pas trouvé trace de son oeuvre à Naples, peut-être envolée avec le vent ou disparue à cause de la pluie ... 

Il m'a raconté qu'il devait retourner à Naples avant l'automne pour créer de nouvelles oeuvres. J'espère en trouver pendant mon prochain séjour.

Pour en savoir plus visitez son blog 
Clementine Cervellon

vendredi 28 août 2015

Voyage à Rome (1ère partie)

A l'approche de la fin des vacances voici un petit exercice d'italien pour se remettre dans le bain !
Ci-dessous un article en italien sur un séjour à Rome présenté par Martine Jesus-Pret et Marie-Claire Bassou :

Viaggio a Roma dal 11 al 16 febbraio 2014, con Luisa, Régine, Jocelyne, Martine et Martine, Claudine, Luce, Marie-Claire e l’uomo Didier.

11 febbraio :
All’aereoporto di Fiumicino, un pulmino è venuto a prenderci per accompagnarci all’albergo . Installazione nelle camere, nel B & B  26 scalini :
Regine (camera Poeta), Claudine (camera Musicista), Marie-Claire e Luce (camera Diamond)
Nel B & B  Trastevere house :
Martine J-P, Jocelyne, Didier, Martine V. ognuno in camera singola.
Appuntamento a Santa Maria in Trastevere davanti alla chiesa ; questa piazza sarà il nostro posto d’appuntamento per i giorni seguenti. Mentre aspettiamo le amiche di Luisa (la nostra professoressa), che vengono a mangiare con noi, facciamo una passeggiata nel quartiere del Trastevere per orientarci. Prima sorpresa, i santopietrini delle vie; sono sconsigliati i tacchi !
Luisa ha prenotato alla trattoria da Teo, assaggiamo per la prima volta i deliziosi carciofi alla giudia ! Eccellente ricordo .

12 febbraio :
Appuntamento alle 9.30 a Santa Maria in Trastevere davanti alla chiesa per visitare la ROMA BAROCCA :


Chiesa si Santa Maria in Trastevere

Claudine è la nostra guida per il Trastevere con la sua bella chiesa Santa Maria in Trastevere (ma ci sono funerali e la visita non si è potuta fare).



Ecco il Tevere, le sue acque verdi, i suoi vortici e l'isola Tiberina. Poi arriviamo alla chiesa Santa Cecilia con gli affreschi dell’Ultimo Giudicio di Cavallini : i suoi angeli hanno  ale multicolori magnifiche.
                           
Didier è la nostra guida per visitare il Ghetto di Roma : dietro alla sinagoga, si puo leggere un’iscrizione commovente « Non cominciarono neanche a vivere » in memoria dei neonati ebraici uccisi dai nazi nei campi della morte . Sono stati distrutti i muri e le porte del Ghetto . L’arco d’Ottavia è in restaurazione ma andiamo a vedere il teatro Marcello.


Ghetto
                                   
Alcuni del gruppo comprano dolci ebraici come quelli che piacciono molto a Luisa con frutta candita ma la commessa non è molto gradevole. Io, non mi lascio tentare, tanto più che quasi tutti sono bruciati !                              
Durante la passeggiata nel Ghetto, Didier ci fa vedere la casa dei Mattei, il suo cortile, molto lussuoso, con colonne, statue e pezzi di sarcofagi trovati sotto la casa edificata sotto un tempio romano. 


La Casa dei Mattei

Mentre giramo intorno della fontana delle Tartarughe, ci racconta la legenda della sua costruzione in una sola notte ! Da notare che le tartarughe sono state sistemate più tardi e sarebbero del Bernini.


La Fontana delle Tartarughe

Un’occhiata alla piazza Torre Argentina (Luisa ci spiega che questo nome viene di Argentorum, nome latino di Strasbourg, città di nascita di un ricco prelato), ancora delle rovine di tempii romani dove si sono sistemati numerosi gatti .
Da li, direzzione il Campo de’ fiori al centro della quale si erge la statua di Giordano Bruno, arso sul rogo nel 1600. Régine è la nostra guida. Attraversiamo il mercato muticolore, frutta, verdura, pasta, formaggi …
                       
La passeggiata ci ha dato fame e Luisa ritrova Al Forno, un negozio dove si vendono pizze al metro, pani, biscotti …e dove si puo mangiare . Posto molto pittoresco, i commessi sono gentili e sorridenti e le pizze ottime ! Alcuni del gruppo preferiscono mangiare in un ristorante vicino, più tradizionale, dove  le raggiungiamo per prendere un caffè . (Per la piccola storia, ordinavo un caffè « americano », perché spesso non c’era quasi niente nella tazzina, anche quando ordinavo un caffè lungo !) . Poi, passeggiamo fino alla piazza Navona e, mentre  curiosiamo, Luisa ci fece scoprire un cortile piacevole e tipico .
                     
Luce è la nostra guida per la piazza Navona e le sue tre fontane celeberrime. Stretta e allungata, ricorda lo stadio di Domitien, costruito da 81 a 96 d.C. Al centro, si trova la Fontana dei Fiumi, del Bernini . E sormontata di un obelisco . Le grande statue allegoriche, il Danubio, il Gange, il Nile, il Rio della Plata simboleggiano rispettivamente l ’Europa, l’ Asia, l’ Africa e l’ America . Al Nord della piazza, si trova la fontana di Nettuno, di della Porta e al Sud, c’è la fontana del Moro dello stesso scultore .         

Tocca a me di fare la « guida » : il chiostro del Bramante realizzato verco 1500 dal Bramante, un rivale di Michelangelo . Anche descrivo la vita di questo scultore e le sue opere (tra cui la basilica San Pietro) . Poi passeggiamo nella via del Pasquino e ci fermiamo davanti alla statua dello stesso nome . Parlo allora di queste statue parlanti che sono una curiosità di Roma ; ce ne sono sei sulle quale la gente metteva fogliettini satirici per far sentire il loro malumore contro il potere del momento, dal sedicesimo secolo a oggi.                              
La passeggiata continua al Pantheon, molto ben conservato ; fu costruito da Agrippa  nel 27 a.C. durante il regno dell’imperatore Augusto, diventato chiesa nel 1608, poi il mausoleo di due rei d’Italia ; in un lato, c’è la tomba di Raffaello Sanzio, nuda con solo due colombe.
Non abbiamo potuto fare la visita consigliata da Luisa alla chiesa di San Luigi Dei Francesi per ammirare tre capolavori di Caravaggio ; la chiesa era chiusa.
A ciascuno di ritornare per vederli .
                         
Decidiamo di andare a vedere la chiesa del Jesù con un soffito barocco notevole da Andrea Pozzo . Lunga discussion tra noi per decidere dove si fermano gli effetti di trompe-l’œil ; anche a vedere il mausoleo d’ Ignacio di Loyola (1491-1556), fondatore della Compagnia di Gesù e canonizzato nel 1622. C’è una rappresentazione della terra di cui la metà è fatta della più grossa pietra di lapislazzuli nel mondo. Saliamo nelle stanze dove Loyola è vissuto otto anni ;  ci sono anche le sue scarpe ! Un altro soffito in trompe-l’œil orna questa stanza.                                  
Torniamo a piedi al B&B, un po’ di riposo, e tutti ci ritroviamo per cenare in un’ altro ristorante XXXX indicato da Luisa . Il cameriere è d’umore allegra, scherziamo e siamo tutti molto contenti della giornata, una buona serata. Per alcuni di noi, la serata non è ancora finita . Io, Jocelyne, Martine V. e Didier abbiamo deciso di fare una passegiatta notturna sul Gianicolo . Fu un momento molto piacevole. La notte era dolce e tranquilla, poca gente nelle strade e la vista di Roma bellissima, con tutti questi duomi illuminati, tra I quali il famoso duomo della basilica San Pietro.               

Passeggiando, ci siamo ritrovati davanti al mausoleo di Garibaldi e un po’ più lontano, la statua equestre di sua moglie Anita . Giuseppe Garibaldi, uomo politico italiano (1807-1882) e patriota, è considerato con Camillo Cavour, Giuseppe Mazzini e Vittore-Emmanuelle II come uno dei « padri della patria » italiana . E stato un personnaggio fondamentale del Risorgimento italiano che ha permesso la costituzione dell’ Italia unificata.

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Renseignements : secretariat.dante66@hotmail.com           

lundi 27 juillet 2015

Atelier de cuisine chez Peperoncino - Pâtes fraîches

L'Association Dante Alighieri Perpignan propose depuis 2013 des cours de cuisine dans l'épicerie fine italienne Peperoncino à Perpignan, située 1 Avenue de Grande Bretagne (non loin de la gare). Vous y trouverez toutes sortes de pâtes, gâteaux, alcools, de la faïence italienne, des cafés, vinaigres, sauces tomates, farines, même de la mostarda di frutta, des fromages et jambons à la coupe, des pâtes fraîches, j'ai même vu du lard de Colonnata et encore beaucoup d'autres produits. Les amateurs de produits italiens, je vous conseille d'aller faire un tour dans cette jolie boutique; vous serez reçu par Renato de Angelis qui n'a pas réussi à perdre son accent italien et c'est tant mieux !





Je m'étais donc inscrite pour un cours de pâtes fraîches.
J'avais déjà assisté à un cours de pâtes fraîches aux Pays-Bas, mais pas par un italien ! Ce matin le cours a été donné par un italien et en italien à notre demande, cela change tout !

Renato de Angelis

D'abord il nous a donné une explication sur les différents types de farine qu'il vend et lesquels utiliser pour les pizzas ou pour les pâtes. Il y a mille façons de faire les pâtes et aujourd'hui nous allons apprendre à faire des pâtes aux oeufs. Renato de Angelis mélange pour les pâtes fraîches 50% de farine de blé dur avec 50% de farine de blé tendre. 


Les farines nécessaires pour les pâtes fraîches

Ingrédients :

500 g de farine : 250 g de farine de blé dur et 250 g de farine de blé tendre

5 oeufs
un filet d'huile
sel

On peut bien sûr adapter les quantités, les proportions restent identiques : 1 oeuf pour 100 g de farine. Il se peut qu'en été quand le temps est sec qu'on soit obligé de mettre un oeuf en plus et en hiver quand il fait humide un en moins. 


Préparation :


L'idéal pour travailler la pâte c'est un plan de travail en hêtre. Pour la pâte à pizza c'est le marbre qui est conseillé. Dans la boutique le propriétaire a installé pour ses cours une grande table en hêtre. On commence par mesurer et mélanger les 2 farines qu'on verse sur le plan de travail. Au milieu de la farine on fait un puits (une fontaine ou una fontanella). On casse les oeufs dans un récipient avant de les verser dans le puits de la farine pour éviter d'avoir des morceaux de coquille dans les pâtes. Puis on réduit les oeufs en omelette à l'aide d'une fourchette ou avec les doigts. On y va doucement et on incorpore petit à petit la farine :





Donc il faut bien retenir qu'il ne faut pas se presser : piano piano !

A mi-chemin on ajoute éventuellement un peu de sel (Renato ne trouve pas nécessaire d'en ajouter) et un filet d'huile. Quand les oeufs ont absorbé la farine on peut commencer à travailler la pâte.
Il faut "fraiser" la pâte, c'est à dire écraser la pâte avec la paume de la main sur le plan de travail, la pousser, la reprendre, l'écraser devant soi en donnant un quart de tour chaque fois.


Quand la pâte est prête, la rouler en boule, enfoncer un doigt dans la pâte, l'empreinte doit disparaître. Laisser reposer la pâte enveloppée dans du film alimentaire minimum 20 minutes au frigidaire.



Ensuite il y a 2 méthodes pour étaler et couper les pâtes : à la main ou à la fameuse macchina per fare la pasta. Renato nous a montré les 2 méthodes, la plus facile étant bien sûr avec la machine.

A la machine

On commence à donner une forme un peu ovale à la pâte et on la glisse entre les rouleaux de la machine à l'ouverture la plus grande. Répéter cette action 2 ou 3 fois en pliant la pâte en trois avant de la remettre entre les rouleaux. Fariner la pâte légèrement des deux côtés et repasser à l'ouverture un peu moins grande. Fariner à chaque fois la pâte. Diminuer l'épaisseur  petit à petit jusqu'à obtention de l'épaisseur souhaitée.




Pour confectionner de belles pâtes uniformes couper la pâte à l'oblique en formant des morceau d'environ 25 cm de longueur.
Ne jetez pas ces bouts coupés ! Faites-en des maltagliati ou des quadrotti que vous pouvez utiliser dans un bouillon (brodo) ou une minestrone.



La pâte peut maintenant être taillée en tagliatelle ou spaghetti (2 possibilités à ma machine). Si on a une machine plus perfectionnée on peut changer les embouts et façonner d'autres modèles de pâtes.

Selon les préférences on peut les cuire immédiatement ou les laisser sécher quelques heures. Temps de cuisson 10 minutes. Ajouter un filet d'huile à l'eau de cuisson pour les pâtes fraîches.


A la main


Pour fabriquer les pâtes à la main il faut donc utiliser le rouleau à pâtisserie. C'est plus long qu'à la machine. Poser le rouleau au milieu de la pâte et aplatir la pâte.  Tourner la pâte en donnant un quart de tour chaque fois. Fariner la pâte régulièrement.




Pour couper des tagliatelle enrouler la pâte et couper des tranches à la largeur souhaitée.
Il existe un rouleau à pâtisserie à striures. En le roulant sur la pâte tout en appuyant, on coupe la pâte en spaghetti.



Après le cours nous sommes toutes rentrées à la maison avec la pâte préparée en cours. Voici la recette que j'ai préparée avec la pâte.

Quand on regarde les photos et les vidéos cela semble tellement facile, mais mettre en pratique c'est autre chose. Heureusement Renato était là pour nous aider et pour rattraper nos erreurs.


Pour voir tous les cours de cuisine que j'ai suivis chez Renato di Angelis cliquez ici 


Renseignements : secretariat.dante66@hotmail.com